Une masse décomposée, face au parc, un volume dont les différents éléments glissent les uns contre aux autres et font apparaitre des terrasses, des balcons.
Depuis la rue René Guillet les différents nus de la façade révèlent une échelle domestique et habitée visible depuis l’espace public.
Cette façade légère, striée d’ombres protège l’intimité des logements et des espaces extérieurs.
Au passage de ce filtre en bois, la lumière se teinte et pénètre dans les appartements.
Cet entre-deux aux dimensions généreuses permet véritablement de vivre à l’extérieur, pleinement
En été, le feuillage plus dense permet de profiter pleinement des espaces extérieurs ainsi rafraîchis.
Au niveau de la rue, un socle en béton lazuré protège les logements surélevés du rez-de-chaussée.
Ici encore, la présence du végétal protège les occupants des logements les plus exposés.
Des halls de grande hauteur accueillent les résidents et permettent d’apercevoir le cœur d’îlot à travers de larges vitres.
Un jardin largement planté profite visuellement aux logements exposés Nord et Est.
Au dernier étage, les volumes se reculent et forment des petites maisons ouvertes sur de généreuses terrasses en bois.